vendredi 2 octobre 2009

Perquisitions aux sièges des syndicats étudiants

On a appris la nouvelle le jeudi 1er octobre; notamment dans Le Monde :

« Des perquisitions ont eu lieu aux sièges de syndicats étudiants, jeudi 1er octobre à Paris, dans le cadre de l'enquête sur l'Union des métiers et industries de la métallurgie (UIMM). Les enquêteurs de la brigade financière et le juge Roger Le Loire se sont fixé cinq objectifs, selon les sources, et devaient notamment mener ces perquisitions à l'UNEf, à l'UNI, à Promotion et défense des étudiants (PDE) et à la FAGE. Il s'agit pour les enquêteurs de déterminer s'ils ont ou non perçu des fonds de l'organisation patronale. »
Source et lire la suite :

Au fait, et le syndicat SUD-Étudiant ? Épargné comme quantité négligeable ? À déstabiliser par d'autres moyens, comme ceux employés dans l'affaire des prétendus « terroristes » du Tarnac ? Au fait d'au fait : on n'en parle plus guère de ceux-ci ! C'est comme de la grippe ! Tout disparaît englouti dans les flots du Clear Stream ?!

Dans les réactions des abonnés au Monde, on remarquera la réaction d'Yves Madiran. On ne s'étonnera sans doute pas du fait qu'Étourneau la partage entièrement !

« L'affaire de l'UIMM s'étend aux syndicats étudiants
01.10.09 | 11h26 Découvrez les réactions des abonnés du Monde.fr à la lecture de cette information.

yves madiran
02.10.09 | 10h14

En tout cas, voilà qui tombe à pic, en cette rentrée universitaire à « hauts (ou petits ?) risques » ! La police est très efficace, au contraire, ainsi que le silence de G-S. Décrédibiliser les syndicats étudiants aux yeux des nouveaux inscrits (qu'entre parenthèses, on n'a pas réussi à dégoûter des facs de lettres, malgré un matraquage médiatique inouï), c'est une opération qui peut rapporter gros ! On ne peut qu'admirer ce machiavélisme de joueurs de loto et leurs « poker faces ».

1984
01.10.09 | 18h14

A quand la fluidité judiciaire ? Il doit bien rester un peu de menue monnaie...

Jeannot Lapin
01.10.09 | 15h22

La police serait si inefficace et impuissante qu'elle ne peut rien trouver sans les aveux que Gauthier-Savagnac ne veut pas faire. Je croyais que nous avions eu un certain Nicolas, ministre de l'intérieur en son temps, qui jugeait les policiers sur leurs résultats. Ses successeurs n'ont pas été plus actifs que lui pour faire aboutir l'enquête.

A. Nanasse
01.10.09 | 13h31

"M. Gautier-Sauvagnac s'est toujours refusé à livrer à la justice les noms des bénéficiaires des retraits suspects."Il a même fait mieux que ça puiqu'il a monayé ses indemnités retraite à l'aune de son silence. Évidemment en toute impunité.

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