Tant de bonnes questions sont posées ici, notamment à partir du moment où paraît le Japon, à la sixième minute ! Quel hasard !
« Comment peut-on agir dans la vie individuellement » ?
« Qu'est-ce qui se passe lorsqu'on place des caméras quelque part » (n'est-ce pas Mme Pécresse ! L'université deviendra un autre théâtre, ou un théâtre autre ?)
« Pourquoi vouloir garder la position de celui qui voit tout, du petit dieu de la réalité ? »
Finalement la question est qu'on ne devrait pas encadrer le cadrage !
Et on aurait déjà bien envie de tourner autour des nouveaux bâtiments universitaires (ou autres) avec leurs maquettes à bout de bras. Quand on pense que le dernier cri de l’architecture collective, c’est la couleur rouille de leur façade ! La patine du temps à moindre frais !
Oui, en France c'est "l'entre deux"
RépondreSupprimerentre patrimonialisation à outrance et peur de concretiser une reflexion nouvelle.
Cela donne un entre deux masquant, castrant, dans lequel se perd tout sens.
Dialogue faussé aboutissant à un rien navrant pour ceux qui espèrent encore.
Et Dieu dit à Abraham : « Quitte-toi toi-même, quitte la maison de ton père ! »
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