Si le stade ultime de la culture de masse globalisée est la « boîte à rythmes » (sans abréviation : « boîte à rythmes humains » > « human beatbox » en Novlangue), autant se débarrasser le plus vite possible de toutes les autres humanités, et ne plus envisager que des filières strictement « professionnalisantes » (vous aurez remarqué, on ne dit plus « professionnelles », on reste prudents sur les possibilités de l'université...), dans une dimension spatio-temporelle elle-même étroitement circonscrite ? Bon, je sais, un peu ringard ce commentaire, mais on aura compris qu'il s'agissait d'un raisonnement par l'absurde... Si les humanités mouraient, faute de leur transmission, on n'aurait peut-être plus que les hautes prouesses culturelles et mondialisées des boîtes à rythmes ?
Coercition de l’intime. De Viry-Châtillon à Gaza. Sans retour.
Il y a 1 semaine
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