mardi 25 mai 2010

La France est-elle une démocratie (63) ?

Les Etats GénérEux pour l’Enfance

Dernier ajout : 22 mai.

Devant des états (si peu) généraux de l’enfance, nos états générEux proclament doléances !

Jeunes, Familles, Professionnels, Elus, venez participer !

Forum des états générEux pour l’enfance

Grand goûter mercredi 26 mai à partir de 16h30 et jusque dans la soirée au jardin des Tuileries devant le Jeu de paume

La jeunesse : un problème pour notre société ?

Les états généraux de l’enfance mis en place par le secrétariat d’Etat chargé de la famille ne vont pas dans le sens d’une amélioration de la situation des enfants. Dans la continuité des politiques actuelles, ils procèdent d’une logique néfaste pour les enfants et la société toute entière : présenter la jeunesse comme un problème pour la société ; rendre les familles seules responsables des difficultés de leurs enfants ; prétendre que la contention, la mise à l’écart de ceux qui posent problème, le contrôle des comportements, protégeront la société.

Devant des états (si peu) généraux de l’enfance,

nos états générEux proclament doléances !

Près de 80 organisations - collectifs, associations, syndicats - se sont donc réunies pour lancer des états générEux pour l’enfance et dresser un bilan complet des politiques gouvernementales concernant les enfants. Elles ont rassemblé leurs propositions dans un Cahier de doléances en faveur de la cause des enfants. Y sont posées les bases d’une politique nationale globale et positive POUR l’enfance, pensée dans l’intérêt et le respect des enfants et de leurs familles, et à l’écoute des professionnels et des organisations qui les accompagnent.

La France : mauvais élève des droits de l’enfant

En juin 2009, le Comité des droits de l’enfant de l’ONU s’est montré particulièrement sévère avec la France face à ce qu’il convient d’appeler une non-politique de l’enfance. Nombre de mesures gouvernementales tournent en effet le dos à une véritable politique nationale de l’enfance. De surcroît, des violences sont exercées par l’Etat lui-même et les institutions sur les enfants, notamment, envers ceux, trop nombreux, qui sont en situation de grande vulnérabilité. Sont ignorées les propositions des associations et collectifs d’enfants, de familles et de professionnels qui représentent des capacités importantes d’amélioration du sort des enfants, pour le bien de la société toute entière. [...] »

La suite sur :

http://www.appeldesappels.org/spip.php?rubrique16

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire