mercredi 31 mars 2010
Une mauvaise blague ?
« cette puissance mystérieuse qu’est le capital » Takuboku
Les méfaits annoncés de la LRU (26) : ce n'est qu'un début...
mardi 30 mars 2010
La France est-elle une démocratie ? (59)

lundi 29 mars 2010
La France (58) et la Russie sont-elles des démocraties ?
dimanche 28 mars 2010
Les méfaits annoncés de la LRU (25) : ce n'est qu'un début...

samedi 27 mars 2010
La France est-elle une démocratie ? (57)

La France est-elle une démocratie ? (56)

vendredi 26 mars 2010
Les méfaits annoncés de la LRU (24) : ce n'est qu'un début...
Le Conseil vote la motion suivante :
« Le Conseil d’administration de l’Université de Caen Basse-Normandie, réuni le 19 mars 2010,
déplore la réforme de la formation et du recrutement des enseignants des 1er et 2nd degrés, imposée
par les ministères de l’Education nationale et de l’Enseignement supérieur et de la Recherche.
Son application génère en particulier les effets suivants :
- une incohérence de calendrier : moins de 3 mois de préparation aux concours ;
- une dispersion et une multiplication des objectifs des masters dommageables pour la formation des étudiants et qui se fait au détriment des parcours recherche de deuxième année ;
- la suppression de la formation pédagogique au sein des IUFM ce qui conduit à leur disparition à terme ;
- la dilution du cadre national de la formation des enseignants.
En conséquence, le Conseil d’administration de l’Université de Caen Basse-Normandie réitère son opposition à cette réforme, comme il l’a déjà exprimé en 2008, et demande son abrogation »
http://www.unicaen.fr/actualites/pdf/bulletin-CA-19032010.pdf
Blocage ? Vous avez dit « blocage » ?
La France est-elle une démocratie ? (55)

mercredi 24 mars 2010
La France est-elle une démocratie ? (54)


La rumeur de Toulon, Mains Basses sur l’université
par leo socrates
mercredi 24 mars 2010 - 0 réaction
La rumeur de Toulon, Mains Basses sur l’université
« La rumeur de Toulon » est le fruit d’un travail d’enquête de plusieurs mois. André Joly, Professeur émérite de l’Université Paris 4-Sorbonne, linguiste et philologue, est intrigué par l’énigme de l’affaire du présumé trafic de diplômes au profit d’étudiants chinois découvert à l’université de Toulon (suite à un dépôt de plainte sans preuve d’un enseignant de l’IAE). Dans le plus grand secret, l’auteur mènera un véritable travail d’investigation sur cette affaire qui a défrayé la chronique pendant de nombreux mois en 2009.
Certes des enquêtes ont été menées par le Parquet, la Police judiciaire et Madame Pécresse qui avait envoyé à Toulon des inspecteurs de l’IGAENR. La conclusion des inspecteurs de l’IGAENR mérite, ici, d’être rappelée : il n’y a pas de trafic de diplômes mais de « graves irrégularités ». Mais pourquoi l’enquête des inspecteurs, détournée de son premier objectif, s’est-elle concentrée alors sur les « irrégularités » ? « Au terme d’une seconde enquête menée tambour battant avec une équipe d’inspecteurs renouvelée, sur la foi d’un rapport uniformément à charge, la ministre suspend de leurs fonctions le président Oueslati et deux de ses vice-présidents ». Le président est d’origine tunisienne, il est élu, (est-ce un hasard ?), au conseil de la Région PACA sur la liste de gauche de Michel Vauzelle.
André Joly met en évidence des enchaînements « diaboliques » d’actions menées en un temps record ! Il raconte de manière saisissante comment on peut faire d’une pierre, trois coups ou comment le Ministère de l’Enseignement supérieur et de la recherche a passé l’Université de Toulon et sa Présidence par les armes. C’est terrible ! On découvre alors comment le président de cette université et ses deux vice-présidents vont être condamnés avant même d’avoir été entendus et jugés, comme si la présomption d’innocence n’existait pas.
En 2009, des milliers d’étudiants sont en grève, ils protestent contre la loi LRU. Madame Pécresse « très malmenée pendant les grèves et au bord de la démission, récupère la catastrophe qui frappe l’université de Toulon pour la faire servir à la construction de l’enseignement supérieur selon ses plans, une sorte de laboratoire expérimental. Elle avait dit à qui voulait l’entendre qu’elle irait jusqu’à suspendre des présidents. Et elle l’a fait ! En virant le président, elle peut aussi, d’une part, placer à la tête de l’université un « administrateur provisoire » d’autre part expérimenter le nouveau style de « gouvernance » (nouveau terme à la mode) qu’elle appelle de ses vœux dans le cadre de ce qu’ils ont le culot d’appeler l’“ autonomie ” ».
André Joly, nous prend à témoin et l’histoire qu’il nous raconte tient à la fois du roman comique, du roman-feuilleton, du roman policier, du roman de guerre, du théâtre existentialiste, du théâtre de l’absurde et du vaudeville. Un sacré mélange. Un vrai polar universitaire, avec des pistes à suivre… Mais surtout, André Joly nous fait part de son inquiétude : « L’équipe présidentielle a été immédiatement remplacée par un « administrateur provisoire » qui, après une prise de pouvoir d’une rare inélégance, a déclaré d’emblée qu’il était là pour beaucoup plus longtemps que prévu, car l’université était « malade... très malade ». Il s’est auto- proclamé « chef d’établissement ». Divers appels à élection ayant été rejetés par l’administrateur provisoire et par le ministère lui-même, tout cela prenait les allures d’un putsch, ce que corroboraient le comportement et les propos de l’administrateur. »
"C’est très inquiétant non seulement pour la démocratie universitaire, à Toulon et ailleurs en France, mais pour la démocratie tout court".
Source :
http://www.agoravox.fr/actualites/societe/article/la-rumeur-de-toulon-mains-basses-71783
lundi 22 mars 2010
La France est-elle une démocratie ? (53)

"Les décorations, c'est comme les bombes, ça tombe toujours sur ceux qui ne les méritent pas"
dimanche 21 mars 2010
samedi 20 mars 2010
La France est-elle une démocratie ? (52)
